Un contrat de rivière à La Hulpe ? Officiellement la Région wallonne compte 14 "contrats de rivière" dont celui de la Dyle-Gette. A La Hulpe, un groupe de bénévoles existe depuis 1992 et s'occupe spécifiquement du bassin de l'Argentine (La Hulpe, Lasne, Rixensart et Waterloo). Ce groupe s'appelle "Contrat de Rivière Argentine".
Voici un aperçu de ses activités.
C'est suite à la loi de la Région wallonne sur l'eau de 1992 que feue Mme Kirschen, alors présidente de l'APNE-Association pour la Protection de la Nature et de l'Environnement dans les Ardennes Brabançonnes-réunit quelques personnes intéressées pour créer le "Contrat de Rivière Argentine". Les membres fondateurs seront Mesdames C. Bouland, J. Delmoitié, C. Hogge, J. Kirschen, J. Vandervelden, G. Steenebruggen et Messieurs C. Bulteau, M. Degendt, G. Houvenaghel, J. Jadot, E. Le Fort, J. Vandervelden et R. Van Geffel. Ils seront très vite rejoints par M. R. Lambeau.
Le CRA collabora dès le début avec le Contrat de Rivière Dyle (qui est devenu ensuite le CRDG). Son logo est d'ailleurs dérivé du logo original du contrat Dyle.
Ses missions ? La dépollution de l'Argentine, un meilleur aménagement de ses rives et de ses berges, un assainissement des étangs de la vallée et une protection de la flore, de la faune et des paysages.
Le groupe ne manque pas d'occupation, en témoigne un extrait d'un article de presse paru le 9 mars 1994: "... Ce qui cloche, poursuit Jacqueline Kirschen, c'est la vasière entre le hameau de Gaillemarde et la station d'épuration. Sans parler de la partie entre les anciennes papeteries et le talus du chemin de fer. C'est sale, sauvage, dégoûtant. Des analyses menées en automne dernier à travers toutes les rivières du bassin de la Dyle ont démontré que la partie haute de l'Argentine est la plus polluée des rivières du Brabant wallon".
Le Collège communal de La Hulpe, et en fait tout le Conseil communal, supporta le CRA dès le début et continue à le soutenir encore aujourd'hui. Des représentants de la commune participent aux réunions mensuelles du groupe. Récemment le CRA s'est aussi vu confier la coordination du Groupe de Travail Eau du PCDN de La Hulpe.
Les efforts du CRA n'ont pas été vains : les récentes analyses de la qualité de l'eau, effectuées partout dans le bassin de l'Argentine, en témoignent (voir ci-dessous le chapitre les analyses de la qualité de l'eaux de l'Argentine).
Le groupe actuel compte une dizaine de membres actifs, dont la plupart sont des simples amateurs concernés par la protection des cours d'eau, mais aussi des hydrologues et biologistes de renom international tels que Prof. Dr. Guy Houvenaghel, zoologiste aquatique et Prof. Ir. René Lambeau, hydrologue.
Diverses actions sont organisées chaque année par le CRA, dont la plus connue est la matinée d'entretien de la roselière à Gaillemarde.
La Hulpe tire son nom du mot, d’origine celte, « La Helpe », ce qui en français se dit « Rivière d’argent », d’où le nom de la rivière qui traverse la commune : «L’Argentine». En amont il s'agit d'un ruisseau, recevant les eaux issues de la station d'épuration de Waterloo et d'une petite source dans une prairie attenante au Domaine d'Argenteuil. L'Argentine traverse la Roselière de Gaillemarde et le domaine de Jolimont où elle reçoit aussi les eaux du Ruisseau des Fonds des Ails. C'est déjà une petite rivière qui traverse le Domaine régional du Parc Solvay et ensuite le Domaine Swift pour, après la zone de «Pont cassé», longer le Grand Etang de La Hulpe. La rivière suit son parcours dans le Bois Hennessy et ensuite contourne le Lac de Genval (qui était à l'origine creusé dans son lit), avant de se jeter dans la Lasne, d'un gabarit nettement plus réduit que celui de l'Argentine. Le confluent des deux rivières se trouve en amont d’une jardinerie située en amont de la Rue de l’Institut à Rosière et au Nord de la Rue de Limalsart.
L'eau du Grand Etang alimentait jadis les moulins à papier des Papeteries de La Hulpe (1664‐1975) dont le dernier propriétaire était le groupe Intermills. Les bâtiments et l'étang ont appartenu à la société Swift qui a son quartier général mondial à La Hulpe. La propriété vient d'être acquise par le promoteur immobilier Atenor. Ce site est classé Natura 2000 à cause de son grand intérêt d'un point de vue biodiversité et zone humide. |
Le Grand Etang, d'une superficie de 12 hectares sis le long de la rue François Dubois, s'envase petit à petit et est en plus pollué par des apports de ruissellement venant du Nord-Est.
Le CRA a analysé les causes de la pollution et proposé des solutions.
Lors de l'analyse des boues par le CRA en 2004, leur toxicité est mise en avant. La pollution du Grand Etang serait bientôt avérée pour certains polluants inquiétants (notamment des métaux lourds dont le cobalt et des huiles minérales) ce qui résulterait en un classement des boues en categorie B. Notons qu'en cas de classement en "catégorie B", les boues de dragage feraient l'objet d'une méthode de gestion stricte, compliquée et fort coûteuse.
Un autre problème est la quantité de sédiments. La bathymétrie du Grand Etang, exécutée par le CRA, indique une épaisseur de vase jusque 1 m à certains endroits, avec une profondeur réelle de l'étang de l'ordre de 2m. La partie Nord de l'étang, figurant en vert pâle sur la photo aérienne ci‐dessus, n'est plus un étang (eau libre) mais un marais.
R. Delfosse, géomètre sous la direction de prof G.Houvenaghel (CRA)
La quantité totale de vase qui s'est accumulée dans le Grand Etang depuis que la gestion rationnelle de l’étang fut abandonnée (et donc correspond aussi au début de l’accumulation de la pollution), est estimée à 61.600 m3, soit approximativement au moins 67.700 tonnes de sédiments. Le coût pour l'enlèvement d'une telle quantité de boues est énorme. Il serait astronomique si les boues étaient classées en "catégorie B" c.à.d. polluées, ce qui n'est peut-être pas encore le cas.
Dans les résultats de l'analyse, le CRA observe que globalement toutes les valeurs les plus élevées de pollution des boues du Grand Etang sont notées dans l’échantillon Est. Pour chacun des paramètres, l’indication est identique: la suspicion de l’advection des polluants en provenance du thalweg du Chemin Long. La forme de la rive à l’endroit de l’écoulement du coulant d'eau qui sort du thalweg de la vallée du Chemin Long marque une avancée nette en direction du centre de l’Etang. Cette extension centripète d’une sédimentation locale importante rappelle la structure d’un delta.
Notons que l'îlot au nord-est de l'étang à l'endroit de l'apport principal des sédiments figure encore sur la carte actuelle de l'IGN mais il a en réalité presque totalement disparu dans l'apport suite à l'apport continu de sédiments en provenance du thalweg du Chemin Long .
Au cœur de l’hiver 2006 (janvier), la partie à l'air libre du "ruisseau" du thalweg, au droit de l’Avenue de la Clairière, en aval de sa sortie de la partie voûtée peu après son passage sous l’Avenue des Canards (Eendenlaan), a présenté une couche importante d’un dépôt orange sur toute la partie immergée du lit. Le CRA a fait procéder à la prise d’échantillons (le 17-01-2006). L’analyse a été confiée à l’ULB (Laboratoire d’aquacultures – Prof. G. Houvenaghel) laquelle est consignée dans un rapport au CRA du 30 mars 2006. La suspicion de l'origine de la pollution du Grand Etang est dès lors confirmée.
La pollution est due aux débordements fréquents du déversoir d'orage de l'avenue des Canards. Lors d'une conférence de presse fin 2006, le CRA a présenté une image d'un futur imaginé du Grand Etang dans l'hypothèse où on ne ferait rien: le Grand Etang transformé en prairie pour les ânes.
Fin 2012, le CRA a repris l'étude et a commencé à travailler sur l'étude scientifique des causes de la pollution et des solutions possibles. Un premier dossier est présenté aux autorités communales en octobre 2012 et la sonnette d'alarme est tirée.
La priorité est désormais mise sur la possibilité de mettre fin à la pollution. La solution préconisée par le CRA est la pose d'un tuyau qui amène les eaux polluées du thalweg non plus vers le milieu fermé du Grand Etang mais vers l'Argentine, où la quantité de matières polluantes et de sédiments serait négligeable dans la masse.
En 2013, le CRA présente une nouvelle version du dossier "Etude du bassin versant et solutions pratiques pour le thalweg du Chemin Long". Elle comprend des compléments d'information sur l'état du "ruisseau" après la fin des travaux au chemin de fer.
Le rapport comprend 41 pages avec plusieurs plans en format A3.
Au mois de décembre 2013, une note de synthèse en 12 pages "Protection du Grand Etang contre les apports en provenance du thalweg du Chemin Long" a été présentée aux autorités communales qui l'ont transmise à l'IBW et à la Province du Brabant wallon.
La note comprend 4 volets:
A la demande du Collège communal, le CRA procède en 2014 à un relevé topographique de la vallée du Chemin Long qui sera utilisé par le CRA dans sa "Note de pré-dimensionnement des ouvrages". Cette note servira de base de travail au bureau d'études qui établira le cahier des charges pour la pose du tuyau de dérivation des eaux du déversoir d'orage vers l'Argentine.
La note souligne e.a. que l’essentiel de la pollution est amené par de petites crues qui se produisent plusieurs fois au cours de l’année et que l’interception de crues de fréquence semestrielle ou annuelle générées par des hauteurs de pluies horaires de 8.1 et 10.3 mm, permet d’éliminer de 98 à 99 % de la pollution aboutissant actuellement au Grand Etang. Ce qui signifie une réduction possible du diamètre du tuyau et par conséquent une économie considérable (tuyau de diamètre 700 mm sur une longueur de 90 m et 800 mm sur une longueur de 460 m ou bien diamètre 1100 mm sur une longueur de 290 m et 1200 mm sur une longueur de 100 m selon les options choisies).
Ce joli patrimoine mérite bien l'attention particulière que lui porte le CRA.
Le problème de la pollution du marais "Delhaize" a été soulevé par le CRA en 2007. Il a été remis sur la table en 2013.
Le CRA s'est mis au travail (physiquement et matériellement) pour déterrer l'ancien perré qui canalisait le flux des eaux sales, en cas d'orage, du déversoir d'orage situé en amont vers la Mazerine. Ce système est inopérant car dégradé.
Il s'avère que ce perré s'arrête peu avant un petit ruisseau qui évacue l'eau issue de la source locale vers le marais.
Le CRA a remis à la Commune de La Hulpe un rapport proposant diverses solutions de prévention de la pollution du marais.
Ce rapport de 26 pages inclut des plans dressés d'après les relevés réalisés in situ par le CRA pour proposer la pose d'un tuyau allant du déversoir d'orage (sur le territoire de la Commune de Rixensart) jusqu'à la Mazerine (souterraine au niveau de la rue Soyer).
Après plusieurs contacts pris par le CRA avec les responsables de la Commune de Rixensart, la Commune de La Hulpe a réuni, le 16 octobre 2013, toutes les personnes concernées: éco- conseillère, la responsable des travaux, le bourgmestre et les échevins des travaux et de l'environnement de La Hulpe, ainsi que l'éco-conseillère et l'échevine de l'environnement de Rixensart et un représentant de l'IBW.
Le CRA a fait un exposé sur base du dossier réalisé, dont tous les participants ont reçu copie. Une visite guidée du marais a également eu lieu, les constatations du CRA ont été vérifiées sur place.
La solution préconisée par le CRA fut retenue, à savoir: mise sous pertuis, d'un diamètre au moins égal à celui de l'ovoïde installé pour l'arrivée des égouts, afin de rejoindre le collecteur à la Mazerine.
Les Communes de Rixensart et La Hulpe prendraient en charge chacune leur partie.
Les travaux ont commencé au mois de février 2015 et la fin est prévue pour le printemps 2015. Le site pourra ensuite être aménagé en petite réserve naturelle.
L'inventaire des PN complet établi pour la première fois sur tout le bassin de l'Argentine en 2013 est régulièrement vérifié et complété par des tournées d'inspection périodiques.
Les PN sont reportés sur carte : voici un exemple sur le Coulant d'Eau.
La Mazerine et l'Argentine font également l'objet d'une surveillance soutenue avec une cartographie des PN et des points à surveiller comme par exemple des rejets non polluants.
Le CRA intervient également en cas de pollution ponctuelle, comme par exemple quand le contenu de l'égout local Avenue des Canards se déversait en flot continu dans le thalweg.
En travaillant en étroite collaboration avec la Commune et l'IBW, le problème a été rapidement résolu par un nettoyage du déversoir d'orage par une équipe de l'IBW.
Pour ces analyses, en plus des moyens et documentation dont il bénéficie auprès du laboratoire LOBA (ULB), le CRA s'est doté de kits d'analyse, colorimètre, des microscopes, un appareil WTW électrode fibre optique FDO 925, appareil de pH VWR Electrode graphite pHenomenal C O11, ... destinés à travailler in situ et dans un petit laboratoire installé chez un membre du groupe.
En 2015 le CRA pourra bénéficier d'une petite aide de la Province du Brabant Wallon pour financer une partie de ces achats.
La source de la rivière Argentine est située à Waterloo à proximité du Ring et de la station d'épuration, à une altitude de 95 mètres. Elle y est alimentée naturellement par des ruissellements pluviaux de surface dans un environnement composé de prés et de bois. |
L'essentiel de l'eau qui forme le cours crénal de la rivière est artificiel et provient de la station d'épuration de Waterloo située à cet endroit.
Photo IBW
Initialement mise en service en 1969-70 et reconditionnée en 1995-1998, cette station d'épuration de capacité importante (20.000 équivalents habitants) constitue une «source» permanente de l'Argentine située à peu de distance à l'Ouest et en amont du site d'Argenteuil où interviennent plusieurs petits affluents.
La qualité de ces eaux issues de l'épuration des eaux résiduaires d'une partie de Waterloo, est suivie par l'opérateur de la station, l'IBW, et sont conformes aux normes européennes en la matière (paramètres : DBO5 < 25 mg/l , DCO < 125 mg/l , MES < 35 mg/l , N < 15 mg/l , P < 2 mg/l).
Plus en aval, la rivière Argentine est retenue par un barrage et forme l'étang d'Argenteuil dans lequel bien des matières ont été mises en suspension au cours des années. Récemment, cette retenue a été supprimée (régulation du moine d'évacuation) et les eaux de l'Argentine reprennent leur cours initial en érodant les sédiments accumulés qui sont entraînés au fil de l'eau au détriment de la qualité de la rivière vers l'aval.
A hauteur du hameau de Gaillemarde, des aménagements récents du réseau d'égouttage ont amélioré la qualité de l'eau en supprimant localement des rejets domestiques directs dans la rivière. Dans ce secteur et jusque dans le Domaine Solvay, quelques affluents, comme le ruisseau des Fonds des Ails, l'Argentinette et d'autres écoulements en provenance des massifs forestiers, constituent des apports d'eaux qui progressivement vont diluer et améliorer la qualité générale de l'eau dans la rivière.
Tout au long du fil de l’eau, intervient aussi une autoépuration progressive. Peu avant la Chaussée de Bruxelles, la rivière reçoit les effluents des infrastructures de et autour de Dolce qui sont traités en station. De la Chaussée et jusqu’aux abords du Grand Etang de La Hulpe, divers écoulements, sources locales, drainages et étangs, dont notamment ceux de l’ensemble Gris Moulin, Massol et Decellier, apportent encore une importante dilution. La qualité globale du cours d'eau, rapide et bien oxygéné supporte aussi, dans ce secteur, une bonne autoépuration.
Le Grand Etang de La Hulpe collecte des sources locales et reçoit des eaux d'écoulements non traitées en provenance d'un thalweg collectant les eaux de plus de 300 ha situées à 90% sur Overijse (Maleizen). Ces eaux se déversent dans l'étang, y sédimentent (en comblant et polluant) et rejoignent l'Argentine via un système de régulation du niveau d'eau qui n'est plus en service (voir chapitre "Vers la fin de la pollution du Grand Etang").
Au niveau de la Place Lemonier, l'Argentine reçoit des égouts domestiques et ex-industriels puis traverse le Bois d'Hennesy où se déverse l'affluent La Mazerine.
Ce petit ruisseau appelé « Coulant d'eau » dans sa partie amont, où le débit est intermittent, s'écoule dans une petite vallée très longue venant des abords du Lion de Waterloo.
Des sources à mi-parcours alimentent le ruisseau qui, depuis le carrefour commercial de la Mazerine, s'écoule en passage souterrain jusqu'à la confluence dans l'Argentine. Plus vers l'aval, la rivière reçoit des rejets industriels potentiels à hauteur de la Rue du Cerf et après passage sous le chemin de fer se poursuit en contournant le « Lac » de Genval en recevant sur la rive gauche de nombreux ruisselets, écoulements et drains qui amènent des eaux relativement propres vers l'aval. Dans tout ce secteur de dérive, la pente générale devient importante jusque après le passage sous la route de Rosière à Genval.
Le cours s'élargit en bordure d'un espace « naturel » protégé (réserve ornithologique) qui se situe aux abords de la confluence de l'Argentine (altitude 55 m) se déversant dans la Lasne, une rivière de dimension plus modeste mais à cet endroit nettement plus polluée que l'Argentine.
Partant d'eaux correctes car épurées par la station d'épuration, la qualité des eaux dans la rivière Argentine s'améliore par autoépuration et par des dilutions successives parfois localement contrecarrées par des déversements nouveaux. Globalement, il y a augmentation de la qualité des eaux de l'amont vers l'aval, avec des fluctuations en fonction de déversements locaux d'eaux chargées. Ces influences positives et négatives fluctuent donc géographiquement et au cours du temps (saisons, pluviosité...).
Sans être missionné à ce sujet, le CRA, de par les compétences de certains de ses membres, assure des contrôles de qualité pour certains paramètres physico-chimiques usuels, ainsi que des estimations de la qualité biologique des eaux par les méthodes en usage et agréées : Indices Biotiques appliqués aux diatomées (algues microscopiques), macro-invertébrés (vers, insectes, crustacés, mollusques,...). Dans l'immédiat, l'indice Macrophyte sera aussi entrepris ; cet indice se base sur les plantes supérieures du lit de la rivière (algues, mousses, graminées, plantes à fleurs...).
Plusieurs de ces analyses ont été réalisées par des travaux de stages, de mémoires de fin d'études universitaires et supérieures (biologie, agronomie, géographie) de Bruxelles, Gembloux et Ath. Les analyses des indices biologiques selon les méthodes IBGN (macro-invertébrés) et IPS (diatomées) sont encore en cours, mais un premier bilan de santé de l'Argentine et de la Mazerine-Coulant d'Eau est déjà disponible.
Les principaux points de prélèvements sont indiqués par des points rouges sur la carte ci-dessus.
Ci-dessous : diverses représentations des travaux «en laboratoire», où les méthodes requérant une hotte (vapeurs toxiques) sont effectuées «à ciel ouvert» pour la sécurité des manipulateurs.
Analyse des diatomées, première étape.
Par Hugo Moreau et Guy Houvenaghel, pour le Contrat de Rivière Argentine, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Sauf mention contraire, toutes les photos et compositions sont copyright CRA, auteur Hugo Moreau
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